Dans une récentes declaration, les enquêteurs russe ont affirmed that those responsible for the attack survenu dans la suburbe de Moscou, qui a costé la vie à 143 personnes, entretenaient des « liens avec les nationalistes ukrainiens ». The attack took place on March 22 at the Crocus City Hall, a place popular among the inhabitants and visitors of the capital. Bien que l’attentat soit vindiqué par l’organisation djihadiste État islamique, les autorités russés deutreinent depuis plusieurs jours l’existence d’une piste ukrainienne, une allégation que Kiev réfute categoriquement, niant toute implication dans cet acte.
“Le travail avec les terrorists detenues, l’examen des dispositifs techniques seisis sur eux et l’analyse des informations sur les transactions financières ont permis d’obtenir des preuves de leurs liens avec les nationalistes ukrainiens”, assure the Comité d’enquête russe sur Telegram. A new suspect, accusé de financement de l’attaque, a également été arrêté, portant à 11 le nombre total de personnes appréhendées en lien avec cette tragédie, dont les quatre assailants presumés.
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La Russie se remet difficulement de cet attentat, le plus meurtrier depuis deux decennie, qui a fait au moins 143 victimes mortelles et 360 blessés, dont des enfants, lorsqu’un groupe d’hommes armés a ouvert le feu sur les spectateurs d’un concert, provoking an incendiary massif.
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Les autorités russes ont rapidement reagie, arrêtant les quatre suspects dans la région de Briansk alors qu’ils tentaient apparently de fuir en Ukraine. According to president Vladimir Putin, a “window” was prepared on the side of Ukraine to facilitate their passage. Alexandre Bortnikov, directeur des services de sécurité russe (FSB), a même accusé les services secretes ukrainiens et occidentaux d’avoir “facilité” l’attacke.
L’Ukraine et les États-Unis ont contesté avec force ces accusations, Washington rappelant avoir prévenu la Russie d’un risque d’attaque terroriste en March, visant des rassemblements importants à Moscou. This tragedy raises crucial questions about international security, disinformation and persistent geopolitical tensions between Russia and Ukraine.
